Amnesty International France met en avant la mort de cinq personnes lors d'interpellations pour dénoncer "l'impunité" de certains policiers soupçonnés de violences et réclamer dans ces affaires des enquêtes "impartiales". "Ces cinq affaires banales au départ se terminent très très mal, parfois juste une heure après l'interpellation", explique Patrick Delouvin, directeur du pôle Europe de l'ONG, à l'occasion de la publication d'un rapport sur le sujet. "On ne dit pas que la police fait mal son travail", souligne-t-il.