par Mounir Kilani
Sanctionner une opinion sans procès : l'UE l'a fait. Se taire : la Suisse l'a choisi. Le cas Nathalie Yamb révèle une liberté d'expression sous condition.
L'Union européenne, gardienne autoproclamée des valeurs libérales, sanctionne une voix africaine libre. La Suisse, elle, contemple le spectacle avec la neutralité déconcertante de quelqu'un qui regarderait brûler sa propre maison.
par Michael Nevradakis
L'ordonnance du tribunal fait suite à une plainte déposée en 2023 par sept personnes ayant subi des préjudices suite à une vaccination contre la COVID-19. L'une des victimes est décédée depuis. Selon le quotidien néerlandais De Andere Krant, la plainte porte sur la question de savoir si les injections contre la COVID-19 constituent une arme biologique.
Stephen Karganovic
The vicious treatment allotted to the distinguished German lawyer Dr. Reiner Fuellmich is comparable to the persecution of figures like Giordano Bruno.
Alongside the powers that be everywhere, Google's still anonymous AI is also a pious believer in the virtues of free expression. It proclaims boldly and for all the right reasons that free speech is vital to democracy, in which it also claims to believe.
By Jonathan COOK
Starmer's government has set the most dangerous of precedents: it can now outlaw any political group it chooses as a terrorist organisation - and thereby make it impossible to defend it
The moment the British government began proscribing political movements as terrorist organisations, rather than just militant groups, it was inevitable that saying factual things, making truthful statements, would become a crime.
© Daniele Darolle Source: Gettyimages.ru
Des soldats français bloquant des civils algériens lors d'une protestation durant la guerre d'Algérie (1954-1962).
Une session d'examen au sein de l'Assemblée populaire nationale algérienne a eu pour objet un projet de loi criminalisant les agissements du gouvernement français en Algérie entre 1830 et 1962 et demandant réparation pour les crimes de la colonisation.
Julian Assange, fondateur, rédacteur en chef et porte-parole de WikiLeaks, a déposé en Suède une plainte pénale contre une trentaine de responsables liés à la Fondation Nobel.
Il accuse l'institution d'avoir détourné l'esprit et les fonds du prix Nobel de la paix en attribuant le prix 2025 à María Corina Machado. Selon lui, cette attribution constituerait un détournement aggravé de fonds et une fa
Al-Mayadeen, 17 décembre 2025.- Le fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, a déposé une plainte au pénal le 17 décembre, accusant 30 personnes liées à la Fondation Nobel d'infractions graves au regard du droit suédois, notamment de détournement de fonds, de complicité de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité, et de financement du crime d'agression.
La plainte, déposée auprès de l'Autorité suédoise de lutte contre la criminalité économique et de l'Unité suédoise des crimes de guerre, exige le gel immédiat des 11 millions de couronnes suédoises (1,18 million de dollars américains) allouées à l'opposante vénézuélienne María Corina Machado au titre du prix Nobel de la paix.
par Peter Hänseler
Lorsque les journalistes allemands Röper et Lipp ont été sanctionnés, personne n'a réagi en Suisse. Aujourd'hui, c'est l'un des analystes militaires les plus respectés au monde qui est sanctionné - un citoyen suisse. Weltwoche se réveille ; la Suisse reste endormie.
Introduction
Terroriser les journalistes à coups de sanctions afin de museler la vérité n'est pas une nouveauté pour l'UE.
par TRT Français
Les États-Unis sanctionnent à nouveau des juges de la Cour pénale internationale, en raison de leurs décisions visant Israël. La CPI fustige des mesures portant atteinte à l'État de droit.
Les États-Unis ont annoncé jeudi des sanctions visant deux nouveaux juges de la Cour pénale internationale (CPI) qui ont enquêté sur Israël et émis un mandat d'arrêt contre le Premier ministre Benjamin Netanyahou en novembre 2024.