
par Ced
«Soutenir Israël n'est pas du christianisme. C'est une supercherie théologique.»
Il est évident que le discours de Tucker Carlson gagne de plus en plus de terrain aux États-Unis, particulièrement parmi certains segments de la population. Plusieurs facteurs soutiennent cette hypothèse d'autant que le lobby sioniste est actuellement en panique totale et multiplie les déclarations les plus folles.
Tout d'abord, Carlson a une audience significative, estimée à des millions de viewers via ses plateformes et ses apparitions médiatiques. Son style direct et controversé résonne avec ceux qui se sentent marginalisés par les récits dominants, y compris sur des questions géopolitiques comme le soutien américain à l'israël. Les recherches indiquent une fragmentation croissante des opinions aux États-Unis, avec une polarisation accrue sur des sujets comme la politique étrangère, la religion et l'identité nationale. Cela crée un terrain fertile pour des voix comme celle de Carlson, qui challenge les narratifs établis.
De plus, les critiques de Carlson contre ce qu'il perçoit comme une «hérésie chrétienne» soutenant l'israël s'alignent avec un courant croissant de scepticisme parmi certains conservateurs et évangéliques. Des études récentes, comme celles mentionnées dans les résultats de recherche, montrent que le soutien à l'israël parmi les évangéliques américains commence à se fissurer. Cela est dû à des préoccupations sur les coûts financiers, les implications morales des actions israéliennes, et une réévaluation des liens entre foi et politique étrangère. Carlson capitalise sur ces doutes, offrant une perspective alternative qui gagne en audience.
Enfin, l'influence de Carlson est amplifiée par les réseaux sociaux et les plateformes alternatives, où ses messages peuvent circuler largement sans les filtres traditionnels des médias mainstream. Cela lui permet d' atteindre et mobiliser des communautés qui se sentent sous-représentées ou mal comprises par les élites politiques et médiatiques. Le vent à changé de sens...
«Soutenir Israël n'est pas du christianisme. C'est une supercherie théologique.»
Et puis il a démantelé toute la mascarade :
• Il n'existe pas de peuple choisi par Dieu en raison de son ADN.
• Le christianisme ne signe pas de chèques en blanc à un État étranger.
• Utiliser Dieu comme une menace politique pour forcer les Américains à soutenir Netanyahu ? C'est de la manipulation, pas de la foi.
• Tuer des innocents est la seule chose sur laquelle le christianisme est parfaitement clair : C'est interdit. Point final.
Il s'est ensuite attaqué directement au clergé politique du Capitole : Lindsey Graham, Mike Johnson... ces hommes ne prêchent pas le christianisme. Ils prêchent israël. Et l'absurdité ? Ils menacent les Américains avec des phrases comme : «Dieu débranchera l'Amérique si vous ne soutenez pas israël.» Depuis quand la foi est-elle une prise d'otage ? Depuis quand le dévouement est-il devenu un déguisement en politique étrangère ?
Tucker a dit tout haut ce que des millions de personnes pensaient : «Votre loyauté n'est pas envers Dieu... elle est envers un gouvernement qui n'a rien à voir avec le christianisme.»