Faire de Gaza une « Riviera », selon les mots de Trump, sans aucune trace de cynisme, illustre l'écart absurde entre les ambitions géopolitiques et la réalité génocidaire sur le terrain. Entre Israël et les États-Unis, c'est l'amour, le vrai. Trump, en chef d'orchestre de la Pax Americana, donne le ton des cessez-le-feu orchestrés au Moyen-Orient.
Trump, qui n'est plus à une contradiction près, affirme : « 1,8 million de personnes doivent quitter cette zone-là, parce que ce ne sera jamais la paix et qu'il y aura toujours des bombardements.