Résister, exister, créer dans la société en 2025
par Résistance 71
L'Occidental moderne lambda se doit de comprendre sans équivoque le monde du mensonge, de la tromperie, de la domination et de l'oppression qui l'entoure et dont il est la victime tout autant que les populations dominées et exploitées par son empire, ce afin de pouvoir agir de manière juste et tout aussi inéquivoque.
Les peuples occidentaux vivent au sein d'un empire qui a imposé au monde sa vision maléfique mue par l'idéologie marchande anglo-americano-sioniste dominante et en premier lieu à ses populations. Nous vivons dans ce qui reste de nations ayant des gouvernements terminalement corrompus, compromis, traîtres à leurs peuples, occupés dans ses sphères dites «supérieures», par une idéologie expansionniste mortifère emprunte d'inepties néo-malthusiennes, de délires élitistes transhumanistes et pseudo-religieux dont le sionisme est le dernier avatar colonialiste en date.
L'enjeu aujourd'hui, face au projet eugéniste néo-féodal de la caste dirigeante hors-sol dévouée à ses dieux fric et pouvoir de contrôle absolu, est ni plus ni moins la survie pure et simple de l'humanité.
Nous, les peuples, sommes constamment soumis à des agressions et stress croissants ne visant qu'à notre extermination et à l'asservissement définitif de ceux qui survivront. Nous sommes constamment bombardés de malbouffe, d'environnements toxiques chimiques, électroniques (champs électro-magnétiques 5G etc.) d'ingénierie sociale visant à détruire les fondements même de notre humanité (culture, sexualité, mœurs, relations, mode de vie, spiritualité), de «pandémies» créées de toute pièce en laboratoire ainsi que leurs solutions d'empoisonnement généralisé à grand renfort d'armement nano-biotechnologique, de crises et chaos sociaux fabriqués ou amplifiés, de guerres perpétuelles ne visant qu'à la destruction et l'exploitation au profit du toujours plus petits nombres, de taxation, de renforcement des mesures coercitives et donc de la tyrannie généralisée.
Il est un adage qui dit que lorsque la tyrannie devient la loi, la résistance devient un devoir. Nous y sommes, une fois de plus dirions-nous.
Ainsi, la philosophe communiste chrétienne Simone Weil avait résumé la situation de cette façon remarquable : «La machine de l'État est oppression de par sa nature même, ses rouages ne peuvent fonctionner sans broyer les citoyens ; aucune bonne volonté ne peut en faire un instrument du bien public, on ne peut l'empêcher d'opprimer qu'en le brisant».
L'émancipation ne peut venir qu'en dehors du système établi, qui ne peut comporter aucune solution puisqu'il est lui-même le problème que nous devons résoudre dans la fonction du pouvoir. Nous n'élirons jamais de «politiciens vertueux» qui renverseront la tendance pour rétablir justice et paix, car ceci est absolument incompatible avec les objectifs et la logique interne du système étatico-marchand, pervers, dominateur, oppresseur et exploiteur par essence.
En conséquence, une fois ceci clairement compris, admis et intégré, nous devons agir de manière juste, efficace afin de reprendre le contrôle de nos vies et de nos destinées, de notre capacité décisionnaire sans intermédiaires parasites. Pour ce faire, nous devons être B.R.A.V.E en ce XXIe siècle transitoire...
• B pour Boycott : LE véritable pouvoir de chacun d'entre nous. Nous pouvons décider à tout moment ce que nous pouvons, devons soutenir et refuser le reste. Refuser de jouer le jeu truqué, refuser de voter, ultimement refuser de payer, refuser d'acheter produits et services en provenance d'entités néfastes, refuser de cautionner le système mortifère dans ses projets destructeurs de contrôle et d'asservissement, refuser de croire aux dogmes imposés, refuser les diktats d'un pouvoir inique n'ayant que la violence pour se faire respecter... De là jaillira la création alternative.
• R pour Résistance : Le boycott est un des moyens de résister, très efficace du reste. La résistance n'est pas nécessairement violente, bien au contraire, mais elle peut aussi l'être, ne nous voilons pas la face. Résister c'est reconnaître ce grand pouvoir que nous avons toutes et tous, individuellement et collectivement : celui d'abord de dire NON ! Haut et fort et de nous unir contre l'injustice et l'oppression systémiques. La résistance est inhérente à toute forme de pouvoir coercitif, elle le suit comme son ombre. Notre tâche est, par la résistance et la mise en place de rouages parallèles, de mettre un terme au système à pouvoir coercitif et de le remplacer par un système à pouvoir non coercitif, seul prouvé par l'histoire comme pouvant répondre à tous les besoins décisionnaires de l'humanité.
• A pour Action : Celle-ci peut prendre bien des formes, mais l'essentiel est qu'elle soit directe, en provenance de l'individu qui par son action réfléchie et décisive, s'associe librement, volontairement à d'autres individus ayant la même sensibilité. L'action individuelle et concertée peut aller du boycott à la résistance armée selon les circonstances plus ou moins extrêmes, en passant par la grève du zèle, le sabotage, la diffusion contre-idéologique, la mise en pratique collective et autres, pourvu que cela ait pour but d'agir contre le système étatico-marchand en empruntant des voies parallèles entretenant l'idée qu'il ne peut pas y avoir de solution au sein du système et qu'il est nécessaire, vital même, d'en sortir si on veut être... efficace.
• V pour Versatilité : Soyons multi-dimensionnels, capables de nous adapter rapidement en refusant les dogmes et en agissant pour le bien commun ici et maintenant. Embrassons la complémentarité de notre diversité. Construisons des communautés flexibles, faites de compassion, de tolérance, de solidarité, d'entraide et d'amour, cette chose commune et universelle à l'humanité quelle que soit la culture dont nous sommes issus. Ceci ne peut se construire qu'hors système étatico-marchand, qui est le parangon de la division, du chaos et de la destruction de ce qui est notre humanité profonde. Construisons à l'opposé !
• E pour Efficacité : C'est unis que nous vaincrons ! Unis que nous nous organiserons pour le bien commun ! Unis que notre pensée, décision, action deviendront des plus efficaces. Plus un système est complexe, moins il est efficace. L'univers fonctionne selon quelques lois, certes parfois difficile à comprendre, à rendre intelligible à l'esprit humain, mais qui, combinées, rendent sa complexité simple et très efficace dans ses rouages. Une société bien organisée l'est le plus simplement du monde. La société des sociétés des associations volontaires, des communes libres volontairement associées et confédérées dans un effort de développement et de bien-être commun non pyramidal, sera reconnue, après analyse, comme modèle fondamental pour la société humaine émancipée sur le chemin de la pleine réalisation de son humanité vraie. La coercition divise et rend les choses les plus simples difficiles et complexes. La non-coercition est fluide et naturelle, elle tend vers l'efficacité dans la simplicité. Rien n'est forcé dans la nature, tout y est à sa place. Dans nos sociétés coercitives actuelles, et depuis quelques 5000 ans, soit 0,1% de l'existence de l'humanité, tout est forcé, contraint, régulé artificiellement, dans une complexité croissante toute aussi futile qu'inefficace, sauf pour une toute petite caste en contrôle, caste parasitaire dont l'objectif de l'humanité est de se débarrasser en faisant passer le système d'organisation qui la favorise à la trappe. Si les hommes créent le système, le système, à terme, crée les hommes qui le perpétue, c'est une voie à deux sens. Virer les élites auto-proclamées ne sert à rien si on ne change pas radicalement de système de fonctionnement. Tel est le prix de l'efficacité. Ce n'est pas du tout cher payer en vue du résultat final, qui ne peut être que l'émancipation totale et définitive...
Être B.R.A.V.E doit devenir notre objectif pratique, c'est par cette voie que nous nous émanciperons à tout jamais ! Qu'on se le dise !
source : Résistance 71