«Je dis volé, parce que les Argentins le disent, car retirer la totalité de la réserve d'or sans le consentement de la nation est un vol ; et cette action est clairement indéfendable, parce que si vous avez promis de sortir la nation de l'endettement, vous avez l'obligation non seulement de ne pas emprunter davantage, mais aussi de ne pas céder les réserves d'or de la nation pour garantir plus d'emprunts.
Au lieu de cela, Javier Milei aurait pu émettre des billets adossés à l'or et remplacer progressivement la monnaie sans valeur de l'Argentine par de la vraie monnaie, sauvant ainsi l'économie et donnant au peuple un moyen de sortir du cycle sans fin de l'inflation qui l'a privé de ses économies, de ses salaires et de ses richesses. Mais aujourd'hui, l'Argentine est entièrement dépouillée et va devenir le jouet des banquiers internationaux».
source : Olivier Demeulenaere