par Jorge Elbaum*
Quand tout cela sera fini– car cela va finir –, nous ferons la fête, soulagés de savoir que nous sommes forts, d'avoir traversé ce labyrinthe démentiel de cruautés sans avoir perdu le cap de l'amour pour notre patrie.
Parfois, nous voyons le début de la fin d'un cauchemar dans la percée d'une nuit. Nous nous réveillons le lendemain et commençons à sentir que nous sommes enfin en train de nous débarrasser des résidus d'une confusion vaporeuse.