Par The Cradle
Le récent massacre d'Al Mawasi à Gaza n'a pas suffi à Israël. Ils viennent de bombarder de nouveau. Trump ou Biden, Israël sait qu'il a le feu vert des États-Unis pour exterminer les Palestiniens.
L'armée israélienne a commis de nouveaux massacres contre des civils palestiniens dans la bande de Gaza le 16 juillet.
Le ministère de la Santé de Gaza a annoncé mardi que 17 personnes, dont plusieurs enfants, ont été tuées et au moins 26 blessées à la suite d'une attaque israélienne sur la rue Al-Attar près de la "zone de sécurité" officielle dans la région côtière d'Al-Mawasi, à l'ouest de la ville méridionale de Khan Yunis.
Israel was not satisfied with the recent massacre in Al Mawasi refugee camp in #Gaza. They just bombed again, slaughtering more children and civilians on the pretext of « targeting Hamas «. Trust me, this bloodletting genocide is because Trump or Biden, Israel knows it has US… pic.twitter.com/loMvKh5elL
— vanessa beeley (@VanessaBeeley)
Tel Aviv a affirmé que l'attaque près de Khan Yunis visait un commandant du mouvement palestinien du Jihad islamique (JIP).
Les forces israéliennes ont également bombardé une école de l'UNRWA abritant des civils déplacés dans le camp de Nuseirat, au centre de Gaza, faisant au moins 23 morts et des dizaines de blessés. Des femmes et des enfants figurent parmi les victimes. Israël a prétendu que des "terroristes" du Hamas opéraient à l'intérieur de l'école.
Dans la ville de Beit Lahia, au nord du pays, quatre civils palestiniens ont été tués et cinq blessés lors d'une attaque israélienne près du rond-point Sheikh Zayed.
Au moins 40 personnes ont été tuées au total, selon Al Jazeera.
Israël a commis de nombreux massacres contre les civils de Gaza ces derniers jours.
Le 14 juillet, l'armée israélienne a bombardé l'école Abu Oreiban, gérée par l'UNRWA, dans le camp de Nuseirat, au centre de Gaza, massacrant au moins 15 Palestiniens déplacés et en blessant plus de 70, selon le ministère de la Santé de la bande de Gaza. Les forces israéliennes ont perpétré plus de 40 massacres dans ce camp surpeuplé depuis le début de la guerre en octobre.
Le 13 juillet, Israël a tué au moins 90 civils et en a blessé des centaines à Al-Mawasi lors d'une frappe visant une zone désignée comme "zone de sécurité" par Tel-Aviv.
La semaine dernière, quatre écoles ont été visées par Israël en l'espace de quatre jours.
Les pourparlers en vue d'un cessez-le-feu et d'un échange de prisonniers sont toujours dans l'impasse. Le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a refusé tout accord mettant fin à la guerre et ne permettant pas à Israël de poursuivre les combats une fois les prisonniers échangés.
Le 13 juillet, lors d'une conférence de presse, M. Netanyahu a laissé entendre que des pressions militaires étaient nécessaires pour que le Hamas renonce à ses exigences concernant la fin de la guerre et le retrait des troupes israéliennes de la bande de Gaza.
"Nous continuerons à défendre les principes nous permettant de faire cesser cette guerre",
a déclaré samedi le chef du Hamas, Khalil al-Hayya, laissant entendre que le mouvement de résistance ne renoncera pas à ses positions.
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Traduction : Spirit of Free Speech
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