Ces scènes témoignent de l'ampleur des souffrances endurées par les Gazaouis déplacés vivant sous des tentes, alors que la deuxième tempête hivernale de la saison frappe l'enclave ravagée par le génocide, et que les génocidaires refusent de livrer des tentes en bon état et des caravanes.
Après plus de deux ans de bombardements, de déplacements et de famine, ces enfants endurent désormais la même souffrance pour la troisième année consécutive.