Le dirigeant du Hamas Ismail Haniyeh a annoncé lundi depuis Doha (Qatar) où il réside que son mouvement acceptait le cessez-le-feu négocié indirectement avec Israël par l'intermédiaire de l'Égypte, du Qatar et des États-Unis.
Les termes de ce cessez-le-feu ne sont pas connus, sinon qu'ils comprennent a minima sur un échange de prisonniers palestiniens et israéliens.
Une source proche du Hamas a cependant affirmé que l'organisation avait reçu « des garanties » qu'Israël ne « reprendrait pas » ses opérations militaires une fois le cessez-le-feu instauré. Netanyahou, lui, a rejeté, dans ses dernières déclarations publiques sur le sujet (qui remontent à dimanche soir), son refus d'arrêter le génocide.
D'ailleurs, les massacres ont continué lundi dans la bande de Gaza, notamment en direction de Rafah où plus de 50 personnes, en majorité des femmes et des enfants, ont été tués au cours des dernières 24 heures.
CAPJPO-EuroPalestine