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Recep Tayyip Erdogan, président de la République de Türkiye, s'exprime lors de l'Assemblée générale des Nations Unies (AGNU) au siège des Nations Unies le 24 septembre 2024 à New York. Les dirigeants du monde entier se sont réunis pour l'Assemblée générale alors que le monde continue de connaître des guerres majeures à Gaza, en Ukraine et au Soudan, ainsi que la menace d'un conflit plus important au Moyen-Orient.
"A la suite des attaques sauvages d'Israël, un grand nombre de Libanais, dont des enfants, ont été massacrés au cours de la semaine dernière",
a-t-il souligné.
Pour le leader turc, aucune personnes pourvues d'une conscience ne peut accepter, justifier ou légitimer un tel massacre.
"Tant que le gouvernement israélien sera gâté par les puissances qui lui fournissent des armes pour ses massacres, il continuera à défier le droit international",
a-t-il expliqué avant d'ajouter:
Le chef de l'Etat turc a dit condamner les attaques
"inhumaines"
d'Israël contre le Liban, tout en présentant ses condoléances pour les morts et souhaitant un prompt rétablissement aux blessés.
"Nous pensons que le monde islamique devrait adopter une position plus ferme contre ces attaques",
a-t-il conclu.
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Explosions au Liban
Les 17 et 18 septembre un grand nombre de bipeurs et de talkies-walkies appartenant à des membres du Hezbollah libanais ont simultanément explosés dans différentes régions du Liban, faisant au moins 26 morts dont une petite fille de 10 ans et plus de 3 250 blessés, dont 300 dans un état critique selon les dernières informations. Les appareils auraient été piégés par Israël pour inclure un détonateur à distance avant d'être vendus au Liban qui les avait commandés 5 mois plus tôt.
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Tout le monde se demande où s'arrêtera l'agression génocidaire d'Israël qui l'a étendue au Liban sous le prétexte des menaces du Hezbollah, et, bien sûr, qui l'arrêtera. Notre ami Mehmet Şeker a décrit Israël comme un pitbull sans laisse. Si seulement il pouvait s'arrêter là, il a en fait une laisse et celle-ci a été relâchée par les États-Unis en fonction de leurs intérêts. En d'autres termes, ce n'est pas Israël qui est sans laisse, mais les mains qui tiennent sa laisse. Aujourd'hui, ils incluent