par Hélène Banoun
Le Dr William Makis fait état d'un succès sans précédent dans l'utilisation de l'ivermectine pour traiter deux des maladies neurologiques les plus dévastatrices : la maladie de Parkinson et la maladie d'Alzheimer.
Sa découverte fortuite donne des résultats qui défient les attentes conventionnelles. Dans le cas de la maladie de Parkinson, l'ivermectine à forte dose (60-72 mg) facilite des rétablissements remarquables.
Les patients sous traitement standard maximal, autrefois à peine mobiles, connaissent désormais des améliorations spectaculaires au niveau de leurs mouvements et de leurs symptômes. L'un d'entre eux, après quelques semaines de traitement, a pu recommencer à jouer au golf, une activité qu'il avait perdue depuis des années.
Les résultats obtenus dans le cas de la maladie d'Alzheimer sont encore plus impressionnants. Le Dr Makis explique en détail comment les membres de la famille, suivant son protocole à base d'ivermectine à faible dose (12 à 24 mg pendant quelques jours), sont témoins de ce qui ne peut être décrit que comme des miracles médicaux.
Les souvenirs reviennent en masse ; les capacités cognitives sont restaurées. Dans un cas extraordinaire, un patient a pu quitter l'hospice après une amélioration spectaculaire de son état. Les témoignages sont émouvants : «Ma grand-mère est de retour». Les familles retrouvent un temps précieux avec des êtres chers qu'elles pensaient avoir perdus à jamais. Tout cela grâce à quelques comprimés d'un médicament dont le profil de sécurité est bien établi.
Le Dr Makis remet en question l'establishment médical, soulignant que les recherches précliniques sur l'ivermectine et la maladie d'Alzheimer semblent avoir été supprimées des principaux moteurs de recherche, ce qui témoigne silencieusement de la bataille autour de ce médicament réutilisé. Il exhorte le public à examiner les preuves qu'il partage sur ses plateformes. Le potentiel d'un traitement sûr, accessible et efficace pour ces fléaux neurodégénératifs est trop important pour être ignoré. La question demeure : lorsque les preuves sont aussi convaincantes et que la récompense est le soulagement de la souffrance humaine, pourquoi ce sujet ne fait-il pas l'objet de recherches au plus haut niveau.
source : Hélène Banoun via Patrice Gibertie