par Vincent Gouysse
Au lendemain du cessez-le-feu irano-atlantiste au Sionistan, Téhéran célèbre sa victoire. Le vote (la veille) par le parlement iranien de la fermeture du détroit d'Ormuz (transit de 20% du pétrole et 30% du gaz mondial), synonyme de crach économique mondial combiné à l'attaque symbolique d'une base US au Qatar et à l'effondrement du dôme de fer sio-nazi auront contraint Washington et son proxy à abandonner (pour l'heure) leur projet de «révolution orange» perse. L'Outrance Orange a dû reculer et c'est une indéniable victoire...
S'ouvre désormais le temps où l'Iran va ré-évaluer sa politique extérieure, actant notamment 1° de l'achèvement de la destruction des dernières illusions du droit international bourgeois, impunément violé par les suprémacistes colonialistes, 2° l'inutilité et même de la nocivité des institutions internationales chapeautées par le IVe Reich atlantiste, à l'instar de l'AIEA - cheval de Troie de l'Occident (incapable de condamner le terrorisme d'État nucléaire du Bandéristan à Zaporojie, et tout aussi incapable de condamner le programme nucléaire militaire sio-nazi ou les attaques perpétrées contre les sites nucléaires civils de l'Iran). Pour Sergueï Lavrov, ministre russe des Affaires étrangères : «L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) veut savoir où se trouve l'uranium enrichi à 60% par l'Iran, car elle veut le frapper à nouveau». Nous renvoyons pour notre part à deux décennies de lugubre «farce» entourant le programme nucléaire iranien : assets.zyrosite.com... (pp. 285 et suivantes)